L’iridologie sera introduite en France dans les années 20 par un médecin homéopathe, Léon Vannier, qui publiera en 1923 un ouvrage : « Le diagnostic des maladies par les yeux » (Doin Editeurs), dans lequel il écrit : « Regarder un iris, reconnaître les signes inscrits, les interpréter en les rapportant aux organes internes, ne paraît
pas plus mystérieux que l’examen radiologique au cours duquel la situation anatomique et les modifications des organes se trouvent dans un instant dévoilés (…) ».
Lors du bilan iridologique, le praticien va observer différents signes.
Cette analyse détaillée va révéler ainsi :
Pour résumer, l’iridologie permet d’étudier le terrain d’une personne.
Observer l’iris se fait avec une loupe ou avec un appareil spécifique
Une loupe éclairante avec un diamètre de 60 mm
C'est en fait un microscope binoculaire, avec un grossissement de 10 à 20 fois, ainsi qu’un éclairage réglable.